Généralités sur la mobilité

La mobilité du corps humain est possible grâce à la bonne santé des différents organes qui permettent le mouvement (muscles, articulations, nerfs, ligaments…), ceux-ci alimentés par une bonne circulation sanguine. Cependant, certains facteurs, comme la vieillesse, le manque d’activité physique ou encore le surpoids, peuvent entraîner une perte d’élasticité des membranes, qui pourront, à terme, causer des traumatismes à votre corps.

Serge Boissonnet, ostéopathe et kinésithérapeute, vous dit tout ce qu’il faut savoir à propos de la mobilité du corps.

La mobilité du corps humain | 06 70 06 19 70

Le mouvement : la base de la mobilité du corps

« Le mouvement, c’est la vie« , a-t-on coutume de dire. La vie anime en effet les structures qu’elle habite, mais en retour, c’est la mobilité qui permet à la vie de s’exprimer. La mobilité n’est pas qu’une question de mécanique, elle découle de la fluidité tissulaire et en grande partie de la circulation. La mobilité permet au corps de s’adapter, d’amortir les contraintes et les stress divers. Les zones qui perdent leur mobilité ne participent plus à cette gestion des contraintes et imposent des compensations aux structures restées mobiles, qui s’inflamment et s’usent.

Quelle est la cause d’une perte de mobilité du corps ?

La plupart du temps, une contrainte ou un stress qui dépasse les capacités d’amortissement du tissus provoque dans celui-ci un spasme réactionnel ou même une lésion dont la cicatrisation entraînera fibrose et restriction. Une véritable modification de la structure du tissu s’opère : c’est la lésion structurelle qui va entraîner des perturbations consécutives sur les fonctions localement et à distance. La mobilité est une des fonctions du tissu.

Quels types de stress peuvent causer une perte de mobilité du corps ?

Tout type de stress, physique, émotionnel, psychologique, social, alimentaire… C’est une addition de contraintes exercées dont la somme dépasse les capacités d’adaptation de l’individu et n’est plus prise en charge. Il peut s’agir d’un choc (physique, émotionnel, psychologique, social, alimentaire…) soudain (forte intensité, faible durée) ou d’une contrainte (physique, émotionnelle, psychologique, sociale, alimentaire…) chronique (faible intensité continue ou répétée). En dernier recours, le tissu concerné s’adapte en se figeant.

Si vous êtes victime de tels phénomènes (problèmes musculaires, osseux, douleurs articulaires, fragilité des ligaments, vieillissement du cartilage…) nous vous invitons à contacter le cabinet Serge Boissonnet. Nos professionnels du corps humain sont à votre écoute et tâcherons d’intervenir afin d’améliorer votre mobilité.

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